LA MANIPULATION CLIMATIQUE



Je vais débuter avec une partie de l’article de Michel Chossudovsky paru dans L’Autr’Journal, en 2002, sujet qui est de plus en plus d’actualité de nos jours.

« Les armes du nouvel ordre mondial de Washington sont à même de déclencher inondations, sécheresses, ouragans et tremblements de terre.

L'important débat sur le réchauffement de la planète, qui se déroule sous les auspices des Nations Unies, ne porte que sur un aspect du changement climatique ; outre les résultats catastrophiques des émissions de gaz à effet de serre sur la couche d'ozone, le climat mondial peut maintenant être modifié en raison d'une nouvelle génération d'« armes non létales » perfectionnées. Tant les Américains que les Russes se sont donné les moyens de manipuler le climat de la planète.

Aux États-Unis, la technologie s'affine en vertu du programme de recherche HAARP (High-frequency Active Aural Research Program) qui s'inscrit dans l'Initiative de défense stratégique (IDS) dite « guerre des étoiles ». De récentes données scientifiques laissent croire que le programme est bel et bien opérationnel et qu'il serait en mesure de déclencher inondations, sécheresses, ouragans et tremblements de terre. Du point de vue militaire, le programme HAARP est une arme de destruction massive. Il peut constituer un instrument de conquête capable de déstabiliser de manière sélective l'agriculture et l'écologie de régions entières.

(Note : Je dois rappeler que le projet HAARP est déjà en activé dans 17 endroits sur la planète. Les États-Unis possèdent déjà trois installations : Alaska, Californie et Long Island - New York. Lea autres sont à : Porto Rico, Brésil, Pérou. Angleterre, Islande, Russie, Inde, Japon, Australie et Chine.)

Malgré l'ampleur des connaissances scientifiques, la question de la manipulation du climat à des fins militaires n'a jamais fait expressément partie du programme de l'ONU sur les changements climatiques. Ni les délégations officielles ni les groupes environnementalistes qui ont participé à la Conférence de La Haye sur le changement climatique (CO6) en novembre 2000 n'ont soulevé la pertinence de la « guerre météorologique » ou des « techniques de modification de l'environnement » pour mieux saisir la problématique du changement climatique.

Le conflit entre les négociateurs officiels, les environnementalistes et les groupes de pression des milieux d'affaires américains s’est résumé au refus pur et simple de Washington de respecter les engagements du Protocole de Kyoto de 1997 qui fixait des objectifs pour la réduction du dioxyde de carbone. Les conséquences de la technologie militaire sur le climat mondial ne sont pas un objet de discussion ni de préoccupation. Portant exclusivement sur les gaz à effet de serre, le débat en cours sur les changements climatiques ne dérange en rien les objectifs stratégiques et de défense de Washington.

La guerre est météorologique

Rosalie Bertell, scientifique de renommée internationale, confirme que « les scientifiques militaires américains… s'intéressent aux systèmes météorologiques à titre d'arme potentielle. Il s'agit, entre autres méthodes, d'amplifier les orages et de canaliser les vapeurs d'eau dans l'atmosphère terrestre en vue de produire des sécheresses et des inondations ciblées ». Dans son livre Between Two Ages paru dans les années 1970, l'ancien conseiller à la Sécurité nationale, Zbigniew Brzezinski, prévoyait déjà que « La technologie va doter les dirigeants des principaux pays de techniques capables de mener en secret une guerre dont seules des forces de sécurité réduites au minimum seraient au courant… On pourrait utiliser des techniques comme la modification des conditions climatiques pour engendrer des périodes prolongées de sécheresse ou d'orage. »

À la lecture de cet article, nous pouvons comprendre ce qui s’est passé à Dubaï, le 17 avril 2024, une chute de 254 milimètres de pluie, l’équivalent de deux ans de pluie normal sur ce pays.

Nous devons rappeler qu’au cours de l’année 2022, au moins 311 missions d’ensemencement de nuages ont été faites au dessus des Émirat arabes unis avec de l’iodure d’argent et du sel. Il y a eu un nombre de missions semblable en 2023, mais non confirmé.

Dans les deux jours précédent l’inondation exceptionnelle du 17 avril 2024, il y a eu 7 autres missions d’ensemencement de nuages. Une mission à partir du sol pour faire augmenter la grosseur des nuages et, en plus, un déploiement de drones avec un système de décharge électrique pour crever les nuages et provoquer de la pluie au dessus du pays.

Comme nous pouvons le constater, le fait de jouer aux apprentis sorciers conduit à des conséquences imprévisibles.

Que nous réserve l’années 2024 au sujet du climat, de l’environnement et dudit « changement climatique ? »

Tout peut arriver. Déjà les feux de forêt sont commencés depuis quelques mois et cela va se poursuivre toute l’été. Il a été démonté que plusieurs feux sont provoqués volontairement avec des armes énergies dirigées pour toutes sortes de raisons : Hawaii pour prendre possession du territoire et au Texas pour créer une pénurie de nourriture.

Le réchauffement de la Terre, comme il a déjà été mentionné dans mes articles précédents, est dû à l’affaiblissement de la matrice, à l’activation des arches cachés sous terre ou dans les océans, à l’augmentation vibratoire de la planète et à un cycle naturel commencé il y a des milliers d’années. Le citoyen ordinaire de la Terre n’y est pour rien.

Par contre, les pluies excessives, les ouragans, les feux et les tremblements de terre sont la plupart provoqués volontairement pour maintenir le peuple sous leur contrôle en créant des pénuries, la dévastation et la réduction de la population.

Les gouvernants sous la guidance de l’État Profond profitent de ces changements volontaires ou non pour créer de nouvelles taxes afin de remplir leurs coffres. Les argents recueillis au nom du changement climatique ne sont jamais dépensés pour contrer ce changement en cours. En ce, pour la simple raison que les gouvernants n’ont aucune volonté de renverser la situation. Une situation qu’eux-mêmes ont mis en place et encouragé.

Que pouvons nous faire en tant qu’individu dans cette période incertaine et instable de l’année en cours ?

Nous devons souligner encore une fois que les deux forces s’affrontent toujours : l’Ombre et la Lumière. L’Ombre a perdu beaucoup de pouvoir depuis le départ des reptiliens de la Terre, mais les gouvernants font croire qu’ils ont encore tous les pouvoirs sur le peuple. Ce n’est qu’une apparence trompeuse. Si tous les gens de la Terre s’opposent aux gouvernants et dise NON, c’est assez. Ces gouvernants ne sont plus rien. Ils s’écrasent et disparaissent.

Denis Marcil, 1 mai 2024