TIAHUANACO




Photos de l'auteur: 1. Tiahuanaco , 2. Statue Ponce, 3. Statues Del Moral, Aréquipa .





Tiahuanaco ou Tiwanaku en Bolivie

La civilisation de Tiwanaku a pris naissance sur la rive sud du lac Titicaca, à plus de 3 800 mètres d'altitude, aux environs du site archéologique de la Cité du Soleil de Tiahuanaco.

Dans l’Histoire inconnue des Hommes, Édition Robert Laffont, Robert Charroux nous relate le récit d’une femme du nom d’Orejona qui serait venue sur Terre, il y a 5 millions d’années, en aéronef, pour y créer une nouvelle civilisation. Cette pionnière venue de Vénus avait un crâne allongé et de grandes oreilles, d’où son nom « Orejona ». Elle se serait accouplée avec un animal pour donner naissance à la race humaine. Ce récit a été véhiculé par les descendants de Garcilaso de la Vega, de son vrai nom Gomez Suarez de Figueroa, métis Inca, il serait né en 1539 à Cuzco au Pérou.

Dans ce récit rapporté par une tierce personne nous devons avoir du discernement. Je suis entièrement d’accord avec la venue des êtres de Vénus sur la Terre à une époque très éloignée. Ils furent comme les êtres de Terra (Saturne), de Sirius et d’autres êtres de la Lignée Solaire nos créateurs, puis nos gardiens. Ils sont encore là aujourd’hui et ils seront toujours présents pour notre bien-être et notre évolution.

Tiahuanaco un port de mer

À une époque très éloignée, il y a de cela 15 000 ans, voire 100 000 ans, la cordillère des Andes n’étaient pas ce qu’elle est aujourd’hui. La partie centrale de l’Amérique du Sud était beaucoup plus base. Tiahuanaco était un port de mer sur le Pacifique à l’entrée d’un passage vers l’océan Atlantique, passage qui aujourd’hui est le fleuve Amazone. Donc les navires pouvaient voyager librement de la Lémurie localisé dans le Pacifique vers l’Atlantide situé dans l’océan Atlantique dont une partie faisait face à l’Afrique du Nord. Tiahuanaco était un arrêt obligé entre les deux continents. Les bateaux s’y arrêtaient pour le ravitaillement de l’équipage et le repos des passagers.

Des dépôts de fossiles marins et des sédiments sont encore visibles sur le flanc des montagnes sur plus de 100 kilomètres. Nous pouvons les observer dans la région de Puno et en bordure du lac Titicaca. Ceci atteste qu’à une époque très lointaine, le bord de mer était à cet endroit. De nos jours ces sédiments marins sont à plus de 3 880 mètres de hauteur.

Près de l’île du Soleil, sur le fond du lac Titicaca des vertiges d’une civilisation passée peuvent être observés. Depuis les années 30 des plongeurs indiens observent ces ruines et les signalent aux autorités locales. Dans les années 60, d’autres plongeurs ont observé un dallage pavé ainsi que 30 murailles parallèles sur une longueur de plus d’un kilomètre. Plus tard, en à l’automne 1968 sur invitation du Gouvernement l’équipe du Cdt Jacques Cousteau composée de 17 personnes se rendent sur les lieux pour explorer le fond marin et étudier la faune. Ces plongeurs professionnels étaient équipés de 2 mini sous-marins pouvant descendre jusqu’à 300 mètres. Interrogé au sujet des vestiges au fond du lac dans cette zone de recherche, le Cdt Cousteau a déclaré que ses hommes n’avaient rien vu !!

Tiahuanaco en ruines

À l’arrivé des espagnols les indiens de la région ont déclaré que le site de Tiahuanaco a toujours été en ruine. Les ancêtres n’ont aucune mémoire de qui a construit ce site et pourquoi. Au cours de la conquête espagnol plusieurs statues furent déplacées et installées ailleurs. Une statue de 7 mètres de haut fut transportés à la Place du Stadium de Miraflores à LaPaz en Bolivie. Deux autres statues furent transportées à la maison coloniale Case del Moral à Arequipa au Pérou. Ces deux statues qui ont une grande ressemblance avec la stèle monolithe dite de « Ponce » du Kalasasaya ont quelque chose de très particulier, elles ont d’incrusté sur leurs corps 48 petits sarcophages en argent de style Égyptien ! À l’intérieur de ces petits sarcophages, il y a des petites momies en argile incrustés de symboles idéographiques. Étrange n’est-ce pas ?

Tiahuanaco était une ville prospère avec ses résidences et ses temples de plusieurs étages de hauts et ses pyramides. Ce centre portuaire occupait une superficie de 450 hectares et était habité par des milliers de personnes. Les archéologues des dernières décennies ont trouvé que le complexe de Tiahuanaco était sur cinq niveaux, ce qui laisse croire qu’il y eu cinq destructions et reconstructions suite à des séismes. Ceci nous donne un indice que la Cordelière des Andes ne s’est élevée à 4 000 mètres en une seule fois, mais l’élévation aurait été faite à des périodes assez éloignée l’une de l’autre.

Aujourd’hui il serait impossible de reconstruire le site pour lui donner sa forme originale, car trop de pierres sont manquantes. Depuis la conquête espagnole, tout un chacun s’est servi librement dans cette abondance de pierres taillées. Lors de la construction de la ville de LaPaz en Bolivie, des centaines de milliers de tonnes de pierres taillées furent transportées pour diverses constructions : haciendas coloniales, églises, prison, patios de cours intérieures, ponts, chemin de fer et routes. Les statues trop lourdes pour être transportées furent brisées à la dynamite, les morceaux ont servi de remblais.

À époque de l’occupation de Tiahuanaco la paix régnait entre le peuple Atlante et Lémurien. Les Grands Frères extra-terrestres de diverses races y habitaient en toute quiétude. Les orejones, les êtres de Vénus aux longues oreilles y résidaient en grand nombre. Un groupe de ces êtres, lors d’un voyage de retour vers la Lémurie, se sont embarqués sur un navire en direction d’une Terre qui aujourd’hui porte le nom de l’Île de Pâques. Ils se sont installés sur ces terres où vivaient déjà des êtres en provenance de Sirius.

La Porte du Soleil

Dans la ville de Tiahuanaco, près du temple principal, la Porte du Soleil fut érigée afin d’y inscrire une histoire, un message. Cette histoire raconte-t-elle la venue des Grands Frères sur Terre, leurs moyens de transport inter planétaire, les animaux qui vivaient dans les environs il y a plus de 15 000 ans, un calendrier de Vénus et des données astronomiques ? Sur le haut de la porte est-ce la représentation de Kon Tiki Viracocha qui devint le Dieu principal des Incas ? Ce dernier est reconnu comme le Dieu créateur, roi de la foudre et des tempêtes, il symbolise le Dieu de l’eau. La légende le décrit comme un homme de grande taille à de peau claire avec barbe, portant une robe longue et des sandales. Il serait venu enseigner au peuple autochtone l’art de l’agriculture, de la métallurgie, du tissage entre autres. Viracocha fut considéré comme le fils du soleil. Quetzalcóatl est une description identique à celle de Viracocha pour les Mayas. Est-ce le même personnage qui a apporté une civilisation aux deux peuples ? C’est fort possible.

Toutes les hypothèses et théories sont impuissantes devant la Porte du Soleil. En réalité personne ne peut dire avec exactitude ce qui est écrit sur cette porte. Ce ne sont que des spéculations sans fondement qui circulent depuis plus de deux siècles. Attendons…

Une chose est certaine, il y a un peu plus de 12 000 ans l’inévitable s’est produit. À la suite d’un conflit entre les peuples Atlantes et Lémuriens, une mauvaise utilisation des cristaux et de la pensée a provoqué un basculement des pôles, créant ainsi un cataclysme gigantesque sur la planète. Les continents de l’Atlantide et de Lémurie se sont enfoncés sans la mer. L’Amérique du Sud s’est soulevée pour atteindre la hauteur qu’elle a aujourd’hui. Tiahuanaco s’est retrouvé à 3 800 mètres d’altitude. Les eaux océaniques salées emprisonnées entre les montagnes sont connues sous le nom du lac Titicaca avec sa faune marine qui ne se retrouve que dans la mer. Le passage entre les deux continents était fermé à tout jamais.

À la suite du grand cataclysme, quelques millénaires plus tard, il y eu une migration des rescapés de la Lémurie vers les côtes de l’Est. Avec l’aide de Grands Frères de solides embarcations furent construites pour le voyage vers un continent plus stable. Ces embarcations sont arrivées à la hauteur du Pérou d’aujourd’hui ainsi que celui du Guatemala. Ce qui a donné naissance à de nouvelles civilisations connues sous les noms d’Incas, Olmèques, Mayas.

Les Orejones

Les Incas reconnaissaient Orejona, la Vénusienne, comme étant la mère des premiers habitants de l’Altiplano. Dans leur ordre social ils ont prévu une caste des Orejones. Immédiatement après l’Inca, il y avait les Orejones, des êtres de noblesse du sang et de privilèges. Ils étaient tous de la lignée royale et avaient tous aussi des fonctions de haut rang dans l’administration. Ces Oréjones portaient de lourd pendant d’oreille afin de se faire allonger le lobe de l’oreille pour ressembler le plus possible à leur Mère Divine Orejona. Des millénaires avant les Incas, les Orejones, ces gens aux longues oreilles habitaient Tiahuanaco. C’est au cours de ces millénaires qu’un groupe d’Orejones se serait rendu en Lémurie dans un endroit qui est connu de nos jours comme l’Île de Pâques. À cette époque l’Île de Pâques n’existait pas, c’était une pointe de terre qui s’avançait dans la mer et qui faisait partie du continent de la Lémurie. Les Oréjones travaillaient étroitement avec les Grands Frères originaires de Sirius.

L’Altiplano et Vénus

Les gens de la région du lac Titicaca et ceux la région de Tiahuanaco furent toujours en contact avec les Grands Frères et Grandes Sœurs de Vénus. Un monastère secret existe sur la partie Bolivie du lac Titicaca, seuls ceux qui ont la conscience de la cinquième dimension peuvent s’y rendre pour un séjour plus ou moins prolongé. La rencontre avec les Grands Frères est assurée.

Dans cette région une personne du nom de Luis Fernando Mostajo Maertens, né à Cochabamba en Bolivie, s’intéresse de près aux Grands Frères de Vénus. Ce dernier est en contact avec eux depuis l’âge de 13 ans. Présentement il parcoure le monde et donne des conférences sur la Grande Fraternité Blanche des Andes et du lac Titicaca. Un centre est en construction près du lac pour y célébrer des rituels ou pour des rencontres spirituelles.

Cet exposé a été rédigé à la suite de recherches, réflexions, messages reçus et observations faites lors d’un séjour de l’auteur sur l’Altiplano du lac Titicaca en mars 1988.


Denis Marcil, auteur